Perdus…

On vit dans un monde de contadictions.

On vit dans une époque où l’action s’oppose à la parole, la promesse est battue par la trahison, et le mensonge est mille fois plus adapté, même plus favorisé, que la vérité.

On défend les droits de l’Homme d’une part, mais on les viole d’une autre part. On se dit qu’on se sent perdu; et bien, c’est complètement normal. Perdus, dans nos décisions, dans « notre » monde de contadictions…

L’infini 

Et tout en marchant , il trouva des pièces d’âme partout autour de lui, des sanglots, des cris souffrance. Il trouva des larmes de regret. Il ne sentit plus la chaleur qui lui a tant protégé, guidé, et aimé jusqu’à l’infini.

 Il se trouva soudainement perdu, tout seul, dans l’ambiance glaciale qu’il a créé lui même. Ne sachant pas que l’infini qui lui été promis a fini par noyer leur amour. Ne remarquant pas que c’était déjà trop tard. Ne sachant même pas que toutes ces pièces étaient d’elle. Elle, qui a tout donné, tout sacrifié jusqu’à l’infini en ne sachant point que même l’infini était fini..

Condamné à l’attachement

Le début pourrait être la fin sans même s’en rendre compte. On pourrait se noyer, s’étouffer de l’ignorance. On pourrait avoir un rhume à cause de l’ambiance glaciale entre nous. On pourrait s’approcher en se sentant éloigner. Même comprendre soi-même serait incompréhensible. Et le plus bizarre, c’est qu’on sait que toutes ces choses-là vont arriver, mais on continue à s’accrocher.

Nos créatures 

Si c’est vrai que les cages thoraciques sont faites pour protéger, emprisonner, et apprivoiser notre folle, créature sauvage, notre coeur, alors pourquoi réussit-il des fois à s’en échapper, à trouver la sécurité et la chaleur dans les bras d’une autre âme?
Est il si sûr qu’il trouvera la sérénité là-bas?
Est-il si sûr que l’autre âme va le protéger aussi bien qu’il ne l’était chez lui?
Il sait qu’il risque de ne pas être aimé de retour, d’être peut-être brisé, mais malgré ça, il l’aime.

Prêt pour vivre, prêt pour exister

As-tu déjà combattu pour tes rêves ? 

As-tu essayer de mettre fin à tes doutes ?

As-tu penser d’affronter les montagnes de ton chemin ?

Es- tu prêt pour le changement ?

Si tu n’es pas encore prêt pour tout ça, et bien, il faut l’être. 

Il faut être bien préparer dans la vie, non pas parce qu’elle est dure, mais parce que la vie nous surprend toujours.

Elle nous  fait rire, pleurer, sourire et douter. La vie est un mélange complexe de tous les sentiments dont on va tous sentir sans exception.

C’est très beau de sentir l’euphorie au fond du coeur, mais je vous assure que sentir la tristesse envahir votre âme  est la chose la plus dure. C’est pour cela, essayer de rester optimiste, positif en regardant toujours les bons côtés des choses.

Acceptez le changement si ça fera de vous de meilleurs humains que vous les êtes maintenant.

 Pardonner même si c’est difficile parce qu’au fin du jour, nos actes feront notre réputation. 
Ayez confiance en vous non pas seulement pour vivre, mais pour exister aussi.

Souriez à la vie, elle vous sourira💗

Un peu de réalisme

« Personne ne devrait épingler son espoir sur un miracle. » Son excellence Vladimir Poutine 

On a tous le droit de rêver de n’importe quoi même qu’on sait que ce rêve ne peut pas se réaliser dans le monde réel.
On a tous souvent dit que même l’impossible est possible dans la vie, et en fait, cet espoir qu’on a cru être impossible s’est réalisé. Mais on oublie que ce rêve possédait des critères « réels » qu’on ignorait.
En effet, des fois, on s’accroche aux espoirs surréels. Ces rêves qui ont l’air magnifiques dans notre imagination finissent par s’évader ailleurs.
On s’accroche tellement fort à notre espoir qu’il finit par nous apporter la défaite, le désespoir et parfois le manque en confiance en soi.
Ces rêves imaginaires nous étouffe à force d’y penser. Ils rendent la vie compliquée, laide, amère et glaciale.
On a tous le droit de rêver, mais il faut, avant tout, savoir distinguer entre le réel et le surréel pour vivre en sérénité et paix de l’âme. Un peu de réalisme fera du mieu.

Vers l’autre bout de la realité

Vers l’autre bout de la réalité se cache un univers plus beau que le réel et plus immense que toutes les galaxies, mais il est juste pour nous deux. Nos sentiments étaient si intenses qu’ils refusaient d’être contrôlés par les contraintes qui écorchaient nos âmes. Ces sentiments qui étaient même plus forts que l’amertume du destin ont pu franchir les sillons de la Terre et voltigé vers l’autre bout de la réalité.
Personne ne savait ce qui rendait notre amour si different des autres. La vérité c’est que notre amour ne venait pas des battements de nos cœurs, des regards de nos yeux ou des éclats de nos visages. Notre amour n’était pas physique. Il était plus grandiose que ça et bien plus majestueux que vous ne le pensez. Notre amour éclorait de notre âme. L’âme est éternelle; même après la mort, elle continue à scintiller. Tout ce qui est physique, même le cœur qui est l’emblème de l’amour, finit par s’arrêter de battre.
La fraîcheur et la douceur de notre amour étaient incomparables que même Cupidon était jaloux de ne pas avoir les flèches de ce genre d’amour. Des uns étaient jaloux et des autres pensaient que c’était un sortilège car même si la distance nous séparait, la télépathie entre nous était magique.
Les jours ont passé et plein de choses se sont déroulées. La distance s’est élargie entre nous, et le sortilège que les gens croyait être réel en nous s’est malheureusement retourner contre nous. Dieu seul sait quand on pourra de nouveau sentir cette télépathie.
Après toutes ces années, et comme ça, par hasard, la distance s’est un peu rétrécit. Une nouvelle chose nous a ramené ensemble et c’était l’amitié, une amitié indescriptible par les mots, un peu étrange, mais qui rapporte la joie à l’âme.
-Je voulais mettre toutes ces idées en forme d’une histoire (dialogue, scène,…) mais je n’ai pas eu un temps suffisant. Bonne lecture 💗

Mon monde à moi

Dans mon monde, l’amour sera la religion et l’humanité sera la race.

Plus d’analphabétisme, plus de famine, plus de chômage, et plus de pauvreté. Il n’y aura plus de monnaie. Le système d’échange de ressource et de matériel remplacera l’argent ce qui favorisera les relations amicales et transformera les peuplades en un peuple fortement uni et solidaire. Il n’y aura plus de discrimination sociale, plus de pauvre et plus de riche, plus d’esclave et plus de maître. L’égalité régnera et chaque citoyen sera distingué par sa réputation: s’il a un grand cœur et aide ceux qui ont besoin, il aura certainement une très bonne réputation. Par contre, s’il est égoïste, il aura une mauvaise réputation et les gens ne l’apprécieront pas. Tout le peuple aura accès à tous ses droits et toutes les ressources seront reparties selon e besoin de chaque personne.

Dans mon monde, il n’y aura pas de guerre puisque ce mot n’existera pas. Plus de chagrin, plus de souffrance et de mélancolie. Est-il possible3 qu’on ne rencontrera jamais le malheur ? Si, si on ne saura pas comment retrouver le bonheur. Le bonheur se trouve partout, où que l’on soit, il faut juste savoir comment le percevoir et le sentir par notre âme ; ça sera possible en s’entraidant, en voyant toujours les bons côtés des choses et en étant toujours optimiste.

Dans mon monde, on prendra soin de notre mère nature. Elle sera la muse de nos futurs poètes, le refuge de chaque personne demandant le confort et non pas juste un moyen pour se nourrir et bâtir des « anti-verts ».

Même si mon monde « parait » impossible pour quelques-uns, paraitre n’est pas le synonyme d’être. Les miracles existent toujours. C’est l’histoire de mon monde, quelle est la vôtre ? Sera-t-il comme le mien ? Je suis sûre que vous avez  aimé mon histoire, car dans mon monde l’amour sera la religion et l’humanité sera la race.

Goût de vie

Lorsqu’une personne qu’on aime bien meurt, on sens que la vie n’a plus aucun goût. L’amertume règne partout. On se demande plein de questions qu’on ignore leurs réponses. Pourquoi le destin est-il si dur? Pourquoi lui et non pas quelqu’un d’autres? Qu’ai-je commis pour que Dieu me punisse de cette façon? On sens l’obscurité, non seulement autour de nous, mais aussi à l’intérieur de notre âme comme s’il y a un trou noir qui a aspiré tout notre bonheur en un clin d’œil sans même l’avoir donner la permission. On réalise à quel point cette personne a illuminé notre vie et qu’on s’est habitué à cette lumière jour après jour. Cette lueur qui nous a tend guidé, aidé et réchauffé dans les moments de détresse n’est plus présente. On réalise à quel point on se sens perdu comme si on se trouve dans un mystérieux labyrinthe qu’on ignore comment y sortir. On cache toute notre souffrance devant les autres pour essayer de paraître fort comme on l’était aux côtés de cette personne, mais malheureusement on n’arrive pas. On doit s’exprimer pour ne pas exploser. Pleurons! Crions! Il faut que toute cette peine sorte de notre âme blessée afin que la joie puisse y rentrer de nouveau. Elle ne sortira ni tout suite ni si facilement mais elle sortira certainement au bon moment. Ce moment où on réalisera qu’il faut être content car cette personne nous a dit à quel point on est beau avec un « vrai » sourire sur notre visage; car cette personne nous aime voir fort, joyeux et confiant malgré tous les obstacles. Cette lumière qu’on a cru l’avoir perdue à jamais va briller en nous de nouveau mais cette fois elle sera plus intense. Plus intense parce qu’on mérite d’être heureux après notre malheur, parce qu’on a su comment franchir un tel obstacle et surtout parce qu’on a gagné beaucoup de choses face à cette détresse.

On commence à voir le monde d’une façon differente: on n’a plus peur des difficultés de la vie en regardant toujours le bon côté des choses. On sait maintenant comment affronter tous nos problèmes avec notre espoir et force invinsible. Mais la chose la plus importante qu’on a gagné c’est savoir qui mérite vraiment d’être notre ami, ou, d’une autre façon, qui prétendait être notre ami. Peut-être quelqu’un va se demander:  » comment ai-je pu laisser entrer de telles personnes dans ma vie? Suis-je idiot? A ce point suis-je naïf?… » Le problème n’est pas forcément en nous. C’est la vie. À chaque instant la poussière nous entoure. Elle s’accumule jusqu’à ce qu’on sens qu’on y est allergique. Si on ne l’enlève pas, elle va finir par s’entasser jusqu’à ce qu’on étouffe. De même, quand on plante des graines d’une plante, on réalise, après un certain temps, que parmi les plantes qui poussent il y a quelques unes qui n’ont pas la même forme que la plante qu’on a voulu avoir, malgré qu’elles ont l’air belles. Ces mauvaises herbes doivent être arrachées avant qu’elles ne prennent tous les sels minéraux censés nourrir notre plante ou même avant qu’elles ne grandissent et prennent toute la lumière.

Toutefois, merci Dieu qu’il y a toujours de bons et vrais amis sur qui on peut compter et se confier sans aucune doute. Ils sont là, nous côtoient, nous consolent aux moments de défaite, aux moments où on se sent pitoyable, misérable et brisé en mille morceaux. Ils sont là pour nous guider, nous remonter le moral et nous renforcer.

Après tout, il faut avouer que dans la vie de n’importe quelle personne il y a aussi bien de descentes que des montées. C’est vrai que les descentes sont dures, mais la vie en montée sans arrêt n’a aucun goût, aucune leçon à apprendre… c’est comme priver quelqu’un d’une expérience qu’il a tant besoin pour réussir dans son métier, projet… bref, dans sa vie. À vrai dire, c’est le goût de la vie.

Pamela Rizk.